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Nathalie : « Je n’avais que 17 ans quand j’ai découvert que j’étais enceinte. Ce n’était pas du tout prévu. J’ai paniqué, évidemment. Mes parents ont tout fait pour essayer de me persuader que je n’étais pas prête pour la maternité. Mais j’étais déterminée ! Ce petit, je me devais de le mettre au monde.
Je voulais aussi gagner au plus vite mon autonomie. Le fait de devenir maman n’a fait qu’accélérer les choses. En mon for intérieur, j’étais même contente. Fini d’habiter chez papa et maman, j’allais enfin avoir un endroit rien qu’à moi et être complètement indépendante . Mais je n’avais pas conscience des difficultés. À 17 ans, on n’est pas sérieux ! »
Nathalie : « Même quand Kim est née, j’étais encore sur un petit nuage. Je me suis mise en ménage avec le père de ma fille. Mes parents m’avaient fait clairement comprendre que je ne devais pas compter sur eux pour garder ma fille. Kim est donc allée à la crèche. Travailler, faire tourner le ménage, garder moi-même un semblant d’équilibre… Ce n’était pas facile. En plus, le père de Kim et moi, nous sommes séparés. Kim n’avait que 3 ans. Alors que mes amies sortaient et s’amusaient, moi, je vivais en pilote automatique.
Je repensais souvent aux conseils de mes parents. Élever un enfant, ce n’est pas de tout repos. Finalement, avais-je fait le bon choix ? Mais quand je regardais Kim, cette pensée disparaissait immédiatement. »
Nathalie : « Kim a grandi et est devenue une fille heureuse et équilibrée. Elle s’est rendu compte des difficultés de jeune mère que je rencontrais parfois. Elle disait souvent qu’elle ne voudrait jamais passer par là. Pourtant, un jour elle est venue m’annoncer qu’elle était enceinte. Elle avait 18 ans. Je n’ai pas du tout compris. Mais j’ai vite eu l’impression qu’elle aussi, comme moi à l’époque, voulait prendre son indépendance. Ma propre maman est aussi devenue mère à 19 ans. L’histoire est un éternel recommencement.
J’ai vraiment eu du mal. Parce que je voulais lui épargner ce que j’avais vécu. Elle était si jeune. Elle avait son avenir devant elle. Elle aussi allait devoir assumer un bébé et serait contrainte de tout plaquer. Mais quand son ventre a commencé à s’arrondir, je m’y suis résolue. En fin de compte, c’était son choix. De quel droit pouvais-je vouloir qu’il en soit autrement ? »
Nathalie : « Puis, un matin, j’ai reçu un appel. Nous étions à deux semaines du terme. Les contractions avaient commencé. Je me suis précipitée au chevet de Kim et de ma petite-fille qui était en couveuse. Dès que je l’ai vue, j’ai été submergée d’émotions. Je me suis revue à 19 ans, une fille bien trop jeune avec un bébé dans les bras. Ma fille aussi allait vivre une période très difficile. Et elle aussi ne le réalisait pas. Elle rayonnait. Tout comme le papa. Ce soir-là, en rentrant à la maison, c’était comme si j’avais eu le coup de foudre. »
Nathalie : « Lorina a soufflé sa première bougie la semaine dernière. Nous avons tous passé une année mouvementée mais mémorable. Kim est une maman merveilleuse. Comme si elle n'avait jamais rien fait d'autre. Elle est une bien meilleure maman que moi à son âge. Dans ce domaine, le cercle est brisé. Ma maman, qui était elle aussi très jeune quand elle a eu un enfant, n'était pas vraiment une mère poule. Kim bien. Elle est mère dans l’âme.
Kim et moi entretenons aujourd'hui une autre relation. Nous ne sommes plus dans le schéma mère-fille. Nous sommes plutôt devenues des amies. Grâce à Lorina, nous profitons beaucoup plus intensément l'une de l'autre. Et Lorina aussi. Quand 'Nana' est là, c'est la fête. J'avais peur qu'elle ne m'appelle ‘Mémé’. ‘Nana’, ça sonne quand même plus jeune, non ? »
Nathalie : « Avec ma mère et ma grand-mère, nous formons actuellement l'une des plus jeunes 'cinq générations' du pays. Ma mère a 60 ans, ma grand-mère 80 ans. De la plus ancienne à la plus jeune : cinq générations de femmes. On peut en être fier.
Ai-je peur que Lorina ne perpétue la tradition de la jeune maman ? Plus maintenant. Parce que grâce à Kim, je sais que ça peut très bien se passer. J'ai beaucoup d'admiration pour ma fille. Lorina est une petite fille enjouée et heureuse. Le mérite en revient à Kim. Honnêtement, je ne peux pas imaginer une meilleure mère pour mon petit-enfant. Et cela fait de moi une 'Nana' encore plus heureuse ! »